Depuis notre création, notre philosophie est de concevoir et de produire des sous-vêtements, des T-shirts, des chaussettes et des shorts de bain de qualité supérieure et avec une empreinte carbone la plus faible possible.
Nous essayons de minimiser nos émissions de gaz à effet de serre à chaque étape de la production.
Nous choisissons des matériaux qui ont un impact moindre sur le climat, comme le coton biologique et les fibres de plastique marin recyclé.
Et ce n'est qu'un début...
Nous sommes renouvelables
À chaque étape de la production, nous suivons une idée simple : nous associer à des fournisseurs dans des pays qui offrent le maximum d'énergie renouvelable.
C'est pourquoi nous avons d'abord jeté notre dévolu sur le Portugal.
En moyenne, près de 70 % de l'électricité qui y est produite provient de sources renouvelables.
Notre usine portugaise est en fait alimentée à 100 % par de l'électricité verte.
Notre fournisseur de tissus a installé des panneaux solaires sur son toit et notre teinturerie est sur le point de faire de même - ces panneaux fourniront la moitié de ses besoins énergétiques.
Nous travaillons également avec une usine en Autriche qui fabrique les ceintures élastiques de nos collections de sous-vêtements en coton bio.
Là-bas, la part des énergies renouvelables est encore plus élevée, avec un taux impressionnant de 80 %.
Cette part provient principalement de l'hydroélectricité - un grand merci aux Alpes, à leurs rivières rapides et à leurs barrages - mais aussi de l'énergie éolienne et solaire.
Grace à cela, l'électricité produite au Portugal et en Autriche a une faible intensité d'émissions de carbone (émissions de CO2 par unité de kWh).
Cette électricité est donc beaucoup plus verte que l'électricité que l’on trouve dans certains grands pays producteurs de textiles en Asie. Ou même dans certains pays européens (comme la Pologne, par exemple), qui dépendent encore largement du charbon pour leur électricité.
Nous sommes ambitieux
Mais nous ne nous reposons pas sur nos lauriers.
Nous voulons réduire de moitié nos émissions actuelles de CO2 au cours des trois prochaines années.
C'est un objectif ambitieux, mais nous allons tout mettre en œuvre pour l'atteindre.
Les résultats sont très intéressants...
- Nous allons travailler avec tous nos fournisseurs pour augmenter leur recours aux panneaux solaires.
- Nous étudions tous les moyens de réduire notre consommation d'énergie.
- Nous nous engageons à utiliser encore plus de fibres recyclées.
- Nous allons innover, en utilisant de nouvelles fibres naturelles et de nouveaux procédés, comme les teintures naturelles.
Pour nous guider dans cette voie, nous allons effectuer une analyse du cycle de production (LCA = Life Cycle Analysis), avec l'aide d'un auditeur externe, afin de calculer notre empreinte carbone complète.
En calculant les émissions réelles à chaque étape de la production - avant et après toute modification de nos processus - nous pourrons mesurer avec plus de précision les progrès que nous sommes déterminés à accomplir.
Et la neutralité carbone ?
Chez BLUEBUCK, nous ne prétendons pas être neutres sur le plan climatique.
Beaucoup d'entreprises le font pourtant.
Pour être atteindre la neutralité carbone (carbon neutral en anglais), il suffit à une entreprise d’acheter des compensations carbone (les carbon offsets), et l’argent sera ensuite investi dans des projets environnementaux, par exemple des installations d'énergie renouvelable ou des plantations d'arbres.
Mais cette approche pose un problème.
Les compensations n'éliminent pas aujourd’hui le CO2 qui est rejeté dans l'atmosphère. Il s'agit plutôt d'une promesse d’émettre moins de CO2 demain – ou plutôt après-demain, dans de nombreuses années.
Cela nous rappelle ce que faisait l'Église catholique au Moyen Âge, en vendant des indulgences aux pécheurs qui payaient pour compenser leurs mauvaises actions. Leur conscience, et leur chemin vers le paradis, étaient magiquement éclaircis.
L'ensemble du programme de neutralité climatique pourrait donc s'appeler "brûler maintenant, payer plus tard".
En conséquence, les entreprises ne sont pas incitées à réduire leurs émissions immédiatement - les compensations futures (des promesses de papier) font l'affaire.
Bien sûr, nous ne disons pas que dépenser son l'argent sur des éoliennes ou sur la reforestation n'est pas un bon investissement. Loin de là.
Mais cela ne nous dispense pas de travailler dès maintenant à la réduction de nos émissions.
Et cela ne devrait pas être appelé neutralité climatique.
La véritable neutralité carbone n'existe pas, à moins d'être un ermite vivant sa vie dans une forêt ou une grotte.
1% for the Planet
Maintenant que nous avons dit ce que nous pensons de la neutralité carbone, nous devons expliquer que nous nous engageons autrement.
Nous soutenons des organisations qui s’impliquent dans la lutte contre le changement climatique.
BLUEBUCK est membre de l'organisation 1% for the Planet et reverse 1% de son chiffre d’affaires à une association de protection de l’environnement. Il s’agit d’une petite contribution pour s’attaquer à un gros problème, mais si chacun agit aussi à son propre niveau, toutes ces petites actions s’additionnent et peuvent donner de grands résultats.
